
On ne sait pas toujours tout sur tout, on n’a pas toujours le temps de tout faire. Ne soyons pas trop ambitieux sur nos capacités personnelles (qu’elles soient intellectuelles ou physiques d’ailleurs ;-)) et admettons que nous avons nos propres limites.
Faire appel à des compétences pointues n’est pas un signe de faiblesse
Quand on ne connaît pas un sujet (pacte d’actionnaires, comptabilité, négociations commerciales, rédaction d’un communiqué de presse…), plutôt que de faire une boulette, le mieux est de s’adresser à des personnes qui pourront vous éclairer. Un collègue startupper passé par une levée de fonds pourra vous aider à y voir clair dans ce qui est acceptable ou pas dans un pacte d’associés, un mentor ayant quelques années d’avance en tempes grises pourra vous soutenir sur une proposition commerciale qui vous pose des soucis, votre chargé d’affaires à l’incubateur pourra vous soutenir dans l’élaboration de votre 1er communiqué, la rédaction de votre argumentaire commercial, la détermination de votre business model ou pire, la rédaction de votre business plan …
Bref, le message à retenir ici, c’est qu’il ne faut pas s’entêter quand on ne sait pas, admettre rapidement que l’on ne sait pas, et identifier les ressources aidantes (incubateur, prestataires, collègues, confrères, plateformes de partage de compétences comme la plateforme toulousaine www.skiller.fr).
Et quand on manque de temps, on peut aussi se faire aider par un/une stagiaire, une assistante administrative 2h/semaine…